QUÉBEC MÉRITE MIEUX
Pourquoi devons-nous arrêter le tramway?
Pour corriger des abus de pouvoir
Notre étude juridique révèle que plusieurs abus ont été faits pour forcer le choix du tramway. Le projet est illégal et constitue un détournement de démocratie. Ne rien faire, on envoie le signal à nos élus qu'ils peuvent piétiner nos droits sans limites.
Suivre les recommandations du BAPE
Le rapport du BAPE ne recommandait pas le tramway parce que la ville avait rejeté des alternatives technologiques pertinentes sous de fausses raisons. En rejetant ces options, la ville n'a pas cherché à maximiser l'investissement collectif de 4 milliards. C'est un manque d'intégrité.
Un bureau de projet trop puissant
Aucune des promesses électorales du maire concernant le tramway n'a été respectée, comme si le bureau de projet avait une emprise sur celui-ci. Aucune limite dans les dépassements de coûts. Le tramway est passé de 87 millions à 205 millions par kilomètre en 4 ans. Ce n'est pas le bureau de projet qui doit diriger la ville.
Pour les citoyens
Si vous avez participé aux consultations publiques, vous avez pu constater par vous-même, le recours des interminables cassettes de propagande au lieu d'écouter. Votre ville dépense sans limite pour essayer de vous convaincre. Ça suffit!
TRAMWAY
Des impacts importants
Des avantages minces
Le tramway «illégal» est trop destructeur pour Québec. Nous apprenions hier la coupe d'une forêt de 110000 m2 en plus de milliers d'arbres à la haute-ville. Ce n'est pas le bon projet pour la ville de Québec.
Tramway rejeté à l'élection 2017
Rapport défavorable du BAPE
Mode de transport non choisi par les citoyens
110 000 m2 d'arbres coupés
Aucune alternative présentée
Trop lent pour concurrencer l'auto
1584 arbres coupés
Vitesse à 20km/h
Fils électriques
Moins de fréquence que le métrobus
Poteaux aux 30 mètres
205M$/km, le tramway le plus cher au monde?
Aucun lien avec l'aéroport
Dynamitage et forage 24h/24
+91 000 tonnes de CO2 pour la construction
148 carrefours infranchissables
352 Expropriations totales ou partielles
75 décibels qui s'ajoutent
Dalle de béton surélevé et infranchissable
Plein à 82% dès la première année
Manque de ponctualité
Collisions possibles avec piétons, vélos et autos
30000$ de compensations pour les commerces
Pollution visuelle
Forêt coupée pour le garage
330 arbres coupés à l'université Laval
Déneigement complexe et coûteux
1241 stationnements éliminés
Transport non automatisé, conducteurs nécessaires
Dégrade la circulation actuelle
Diminue la vitesse de 50 à 20km/h sur René-Lévesque
Passe seulement 4 fois par heure le soir
Aucun lien avec le centre Vidéotron
Livraisons interdites le long du parcours
Oblige à faire des détours pour traverser la dalle de béton
Stations non fermées
6 années de travaux éprouvants
Fermeture possible de commerces
Déviation importante du trafic en haute-ville
Augmentation de 244% de la circulation Holland/Saint-Sacrement
Aucun lien avec Lévis
Aucun lien avec les trains
Fragile au verglas
Complique le travail des pompiers
Capacité faible pour répondre à la croissance de la ville
Dégradation plus rapide des infrastructures extérieures
Budget hors de contrôle. 87M$/km en 2018, 205M$/km en 2021
Aucun arrêt dans le Vieux-Québec
Double le temps de déplacement des autos
Acceptabilité sociale très basse
Aucun référendum sur le plus grand projet de la ville
Guerre à l'auto
Tracé pas optimal
21 minutes de plus pour relier St-Roch à la colline parlementaire
Suppression de la rue de la Couronne
Interdiction de tourner à gauche en tout temps
Construction avec camions/outils diésel
10000 véhicules/jours déviés dans 16 rues le long du parcours
Fausses consultations pour forcer la rue partagée
Étude incomplète pour justifier le tramway
Utilisation du bâillon pour accélérer les travaux
Favorise les ilots de chaleur
Consultations bidon
Détournement de démocratie
Installation de détecteur CO2 pour le dynamitage
Installation de sismographe pour le dynamitage
Rue partagée à 20km/h
Jusqu'à 59% de la rue «partagée» n'est pas partagée par le tramway
Rue partagée: le conducteur n'est plus tenu de respecter la distance d'un mètre des piétons et vélos